Nyotaimori - AVIGNON OFF 25

ARTS DE LA SCÈNE
PRODUCTION,
DIFFUSION

Présentation du projet

En juillet prochain nous présenterons notre dernière Création "Nyotaimori" de Sarah Berthiaume au

Festival Off d'Avignon du 5 au 26 JUIL 

11H  à PRÉSENCE PASTEUR  

(13 rue du Pont trouca) - durée 1h30

Nous avons créé ce spectacle cet hiver à Giromagny au Théâtre du Pilier, près de Belfort. Après avoir silloné la région Bourgogne Franche-Comté (L'Espace des Arts scène nationale de Chalon-sur-Saône, l'Atheneum et l'ABC de Dijon, Théâtre de Beaune, MA scène nationale - Pays de Montbéliard) où nous avons pu rencontrer l'engoument du public pour la pièce et notre travail, nous abordons une nouvelle étape de ce projet : Le Festival OFF d'Avignon 2025

Le Pitch de la pièce :

Le travail est-il le centre de nos vies ?

Avec un humour grinçant, Sarah Berthiaume (Québec) s’intéresse aux systèmes capitalistes qui nous transforment en objet et nous poussent au burn-out. Emprunts de réalisme magique où l’ordinaire se confond à l’extraordinaire « Nyotaimori » (Pratique japonaise consistant à manger des sushis sur le corps nue d’une femme) nous entraine dans la spirale surréaliste de Maud, une pigiste submergée. L’absence de limite avec sa vie personnelle l’entrainera dans un « voyage » de Montréal au Japon et du Texas à l’Inde, à la rencontre de personnages partageant la même aliénation.

Une réflexion sur le travail au service de la mondialisation, le travail qui rend fou et qui fait oublier de vivre...

Accompagné d’un musicien, trois acteurs donnent vie sur scène à cette comédie dramatique pop aux multiples facettes.

Après Dimanche napalm de Sébastien David (créé en 2019 et présenté au festival d’Avignon en 2021, Renaud Diligent revient avec une nouvelle pépite du théâtre contemporain québécois.

 

 

 

Le Festival d'Avignon est toujours une prise de risque et demande un engagement complet pour une compagnie. Mais nous savons aussi que ce spectacle et plus largement le travail de la compagnie y rencontrera de nouveaux publics et sera vu par des directeurs de lieux et des programmateurs. En temps de crise, comme celui que nous traversons en ce moment, nous sommes persuadés que nous devons prendre ce risque afin de continuer à nous développer.

Aujourd’hui, la culture est devenu une variable d'ajustement pour de nombreuses collectivités. Les coupes budgétaires qui déstabilisent l'équilibre déjà très fragile de notre secteur. Cette situation nous pousse à faire appel de nouveau à vous, comme en 2021 pour notre dernière participation au Festival d'Avignon, afin de nous aider à boucler notre budget !

L'équipe :

Mise en scène : Renaud Diligent

Musique originale : Gabriel Afathi

Avec : Sébastien Chabane, Élisabeth Hölzle & Claire Théodoly

Interprétation Musicale Live : Émilien Dodeman

Collaboration Dramaturgique : Sarah Cillaire
Scénographie : Emmanuelle Debeusscher
Costumes : Cécile
Choumiloff
Lumières : Pascale Renard

Régie son et création sonore : Anthony Dascola et Robin Charlet
Régisseur Général : Anthony Dascola
Régie Lumière : Laurie Salvy
 

Chargée de Production : Gallane Decerle

Production : Compagnie Ces Messieurs Sérieux

Co-production : MA scène nationale - Pays de Montbéliard.

Soutien à la production : Théâtre du Pilier - Belfort / Giromagny  et du Théâtre de Beaune

Avec le soutien de la DRAC Bourgogne Franche-Comté, de la Région Bourgogne Franche-Comté (aide à la production) et de la Ville de Dijon et du département de la côte d’or et de la SPEDIDAM.

Remerciement : Théâtre Dijon Bourgogne - centre dramatique national

Résidences de création : Théâtre d’Auxerre - scène conventionnée d’intérêt général, La Cité du Mot - La Charité sur Loire, MA scène nationale - Pays de Montbéliard, Théâtre de Beaune et de la maison Jacques Copeau de Pernand Vergelesses, ARTDAM - Dijon, Théâtre du Pilier - Belfort / Giromagny.

A quoi sert l'argent collecté

L'argent collecté sera affecté aux dépenses liées à l'hébergement des équipes artistiques et techniques pendant le festival, aux frais de repas, aux frais de transport du décor et des équipes, aux frais de location du théâtre et aux frais de comunication.


Objectif de collecte

6 000,00 €

Montant Global

60 638,00 €

Dépenses

Désignation Montant

LOCATIONS

Location véhicule pour le transport décor 1 870,00 €
Présence Pasteur - (Salle Jacques Fornier / 80 places) 10 000,00 €
SOUS TOTAL 11 870,00 €

COMMUNICATION / DIFFUSION

Photos de communication 1 370,00 €
Programme du OFF 400,00 €
Chargé de diffusion 2 500,00 €
SOUS TOTAL 4 270,00 €

DÉFRAIEMENTS

Voyages équipes artistiques et techniques 1 258,00 €
Hébergements 6 500,00 €
Repas 4 174,00 €
SOUS TOTAL 11 932,00 €

SALAIRES

Salaires artistiques (montant brut) 15 500,00 €
Charges patronales 12 528,00 €
Salaires techniques (montant brut) 2 708,00 €
SOUS TOTAL 30 736,00 €

AUTRES CHARGES (droits d'auteurs, ect...)

Droits d'auteur 850,00 €
SPEDIDAM 500,00 €
Pourcentage Proarti 480,00 €
SOUS TOTAL 1 830,00 €

TOTAL

TOTAL 60 638,00 €

Recettes

Désignation Montant

BILLETTERIE

Recettes de billetterie (en cours) 4 000,00 €
SOUS TOTAL 4 000,00 €

SUBVENTIONS ET AIDES PUBLIQUES

SPEDIDAM Aide à la diffusion (encours) 4 960,00 €
FONPEPS Petite Jauge 8 217,00 €
SOUS TOTAL 13 177,00 €

PROVISIONS

Fonds propres 37 461,00 €
SOUS TOTAL 37 461,00 €

Proarti

Financement participatif proarti 6 000,00 €

TOTAL

TOTAL 60 638,00 €

Le mot du metteur en scène :

Depuis quelques saisons, je mets principalement en scène des textes d’auteurs de théâtre contemporains. Des écritures qui s’emparent de sujets qui traversent notre société, plus particulièrement autour de la question de la classe moyenne, de ses rêves, de ses désirs et de ses désillusions. J’aime les œuvres qui proposent des formes narratives atypiques et qui ne posent pas une simple constatation du réel. Le théâtre n’est pas le lieu de la vérité, mais celui de la fable, de l’imaginaire et du fantasme.

 

 

Je définis mon travail de metteur en scène comme celui d’un interprète qui cherche à traduire scéniquement ces sujets de manière ludique, poétique et politique. Mon travail scénique est centré sur le langage et le jeu d’acteur. J’explore un théâtre réaliste qui s’intéresse au quotidien et qui en cherche une perception poétique où le pouvoir cathartique a toute sa place ; un théâtre du mélange des genres entre la tragédie et la comédie.

 

Perdre sa vie à la gagner.

 

« Nyotaimori » met en scène de manière drôle, inattendue et dramatique la question de la centralité du travail dans nos vies. Quels sont sa place et son sens ? Comment est-il un marqueur de nos identités ? Comment change-t-il et transforme-t-il nos corps et nos énergies ? Et enfin est-ce que le télétravail, les visioconférences, et la « surconnectivité » ne sont-ils pas de nouvelles formes d’aliénation et de subordination au capitalisme ?

Derrière ces questions se cachent le Burn-out qui touche aujoud’hui plus de deux millions de personnes en France.

Ce qui me touche dans la pièce de Sarah, c’est qu’elle ne s’attache pas à poser ces question sà travers un unique personnage, mais à faire résonner plusieurs destinées entre elles. Ces personnages n’ont aucun lien entre eux (enfin si, les objets qu’ils confectionnent ou qu’ils utilisent à travers le monde) et vivent dans des contextes différents. Magiquement ils vont se rencontrer, voir leurs points communs et leurs différences. 

Dans les années 90, 60% des Français actifs déclaraient que leur travail définissait leur identité. Au lendemain de la pandémie, seul 21 % le revendique. Aux USA, l’augmentation sans précédent des démissions volontaires de postes a été, symboliquement appelée « La Grande Démission », en référence à la grande dépression des années 30, pour marquer son caractère extraordinaire... Notre monde post-covid se réveille différent et devant la prise de conscience des méfaits de la mondialisation et les problématiques écologiques, l’humanité n’entamerait-elle pas une nouvelle mutation dans notre contexte post-pandémique ?

L’acuité de la pièce de Sarah Berthiaume avec notre actualité est intense, pourtant le texte a été écrit en 2017. J’ai découvert ce texte par l’entremise de Sébastien David, l’auteur de « Dimanche napalm » mon dernier projet. Avec l’autrice, ils ont tous les deux mis en scène la pièce à Montréal en 2018. En me replongeant dans les écritures dramatiques québécoises de ma génération, j’ai le sentiment de poursuivre une exploration où mon regard se déplace. D’Amérique du Nord, la perception et le ressenti de notre société sont différents. La langue pour l’exprimer nous parait étrangère. C’est dans ces écarts que je perçois toute une poésie réflexive sur notre propre présent.

 

Tout, partout, tout à la fois…

 

La mondialisation nous connecte à travers le monde… mais avant tout, elle nous entoure en permanence à travers les objets qui conditionnent des imaginaires. Mais qui se cache derrière leur confection ? Comment une femme enfermée dans le coffre d’une voiture, se retrouve-t-elle à la fois sur une chaine de montage au Japon et dans un parking d’Amérique du nord ? Comment une porte dans une usine de lingerie en Inde peut-elle donné sur le sous-sol d’un immeuble à Montréal ? Un trou de ver ? Une porte magique ?

L’autrice parle de « réalisme magique »… 

(Selon Wikipédia « le réalisme magique est un courant littéraire qui consiste à faire surgir l’onirisme ou le surnaturel dans un environnement réaliste avec un cadre géographique, culturel ou socioéconomique précis »)

            J’aime à me dire que le théâtre peut tout… Étrangeté, humour, drame. Ici, la pièce change de ton et mélange malicieusement les genres. On assiste à la coexistance, un homme qui cherche à gagner une voiture en restant la bouche collée le plus longtemps sur le capot ; une journaliste qui fête son burn-out à coup de marguarita ; une grande dirigeante qui congèle ses ovules dans l’espoir de fonder un jour une famille ; un ouvrier dont le métier est de caresser les voitures à la chaine ; une femme qui rêve de devenir une table à sushis. Un paysage doucement drôle et surréaliste mais en même temps tellement vrai.

La fin est tragique, Maude plonge et nous assistons à  son Burn-out. Épuisée, elle préférera rester allongée pour ne plus se soumettre à l’injonction de produire. Le néolibéralisme aura eu raison d’elle, la transformant en femme/table. Une fin non consensuelle qui pousse volontairement au débat : jusqu’où le néolibéralisme peut-il détruire nos corps, notre esprit et notre capacité a être en lien et à refuser de subir ?

Dès la lecture de la pièce, j’ai pensé collaborer pour la première fois avec un compositeur pour créer un univers musical à la pièce. Comme dans le théâtre musical, cette création originale sera faite d’air, de plage sonore et de chanson.  J’ai demandé́ à Gabriel Afathi, ex membre du duo électro-pop indé « The Georges Kaplan Conspiracy » de composer la musique du spectacle. Sur scène un interprète jouera la composition piano/machine aux cotés des acteurs. Une couleur sonore à la croisée du rock et de la musique afin d’accompagner les personnages dans leur lente progression irréelle, de changer les codes de la représentation vers une sorte de concert final.

Nous concevons la place de la musique à un endroit particulier de la dramaturgie. Si la pièce pouvait se résumer à la dualité entre le désir des personnages et la puissance du néolibéralisme, alors la musique représenterait symboliquement cette dernière. Ainsi la dramaturgie de la musique se construira comme un allié du piège qui se referme sur Maud. Le choix d’une composition pop, entrainante, dansante, suave et légère est volontairement axé sur cette problématique, afin de toujours la placé comme séduisante et tentante.

 

Enfin je rêve d’un espace mental autour des personnages, hors du temps. De partir d’un espace fermé pour l’ouvrir peu à peu en donnant à voir les contours du théâtre. Un espace qui joue à la croisée du théâtre, de la performance et du concert comme un clin d’œil à l’inter-temporalité́ et aux croisements des mondes que propose l’auteur.

Renaud Diligent

Les soutiens :

 

La compagnie Ces Messieurs Sérieux :

Dirigée par Renaud Diligent depuis sa création en 2010 par des étudiants dijonnais issus du Théâtre Universitaire de Dijon, la Compagnie Ces Messieurs Sérieux est implantée en Région Bourgogne-Franche-Comté. Le nom de la compagnie est un hommage à une série de dessins réalisés par Tadeusz Kantor dans les années 70-80 autour des acteurs du spectacle La classe morte.

Le travail de la compagnie sʼintéresse principalement aux écritures contemporaines ou propose une relecture des grands textes du répertoire. Lʼécriture théâtrale est la clef de voûte de la démarche de la compagnie, le texte est perçu comme un partenaire qui invite aux débats.

En 2010, alors que la compagnie est encore une association étudiante dijonnaise, elle est invitée par François Chattot, directeur du Théâtre Dijon Bourgogne CDN, à présenter au Festival Théâtre en Mai Norway.today, dʼIgor Bauersima. Sʼen suit en 2011 la création au Théâtre Mansart / CROUS Dijon de Haute-Autriche, de Franz Xaver Kroetz toujours dans un contexte étudiant.

2013, marque les débuts professionnels de la compagnie avec la création de LʼÉpreuve, de Marivaux, en co-production avec le Théâtre Dijon Bourgogne CDN (et du Festival Théâtre en Mai 2014) sous la direction de Benoît Lambert. En novembre 2016, en co-production avec LʼEspace des Arts – scène nationale de Châon-sur-Saône, elle crée pour la première fois en France le texte de Rebekka Kricheldorf, La ballade du tueur de conifères, le spectacle sera de nouveau présenté au Festival Théâtre en Mai du CDN de Dijon.

En 2019, la compagnie met en scène pour la première fois en Europe Dimanche napalm, de Sébastien David, texte lauréat du Prix du Gouverneur général du Canada 2017 - meilleur texte dramatique.

De 2018 à 2020 Renaud Diligent est en résidence territorial à la Maison Jacques Copeau à Pernand-Vergelesses / Maison des Illustres à partir de septembre 2018. La compagnie effectue de nombreux projets de transmission en direction de différents publics (scolaires, universitaires, publics en difficulté et en insertion, encadrement pénitentiaire...). Elle répond régulièrement à des appels à projet dʼÉducation Artistique et Culturelle et dʼimplication sur les territoires.

En 2015, la Compagnie se voit confié par la DRAC et le Rectorat la mission dʼencadrement des Options de spécialité Théâtre (71) au Lycée Hilaire de Chardonnet de Châlon-sur-Saône en lien avec lʼéquipe pédagogique du lycée et lʼEspace des Arts – scène nationale de Châlon-sur-Saône.

La Compagnie Ces Messieurs Sérieux est conventionnée par la ville de Dijon depuis 2020. Son fonctionnement est soutenu également par le Conseil Départemental de la Côte dʼOr. Ces Projets sont régulièrement soutenus par la DRAC Bourgogne-Franche-Comté, La Région Bourgogne Franche-Comté, le Conseil Département de la Côte dʼOr et la Ville de Dijon, LʼADAMI et la Spedidam.

 

 

Contreparties

menu Nigiri Sushi

pour 15,00 € et +

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Une carte de remerciement rédigé par nos soins.

Un don de 15 € vous coûtera finalement après défiscalisation

> 5,1 € pour un particulier (défiscalisation de 66%)

> 6 € pour une entreprise (défiscalisation de 60%)

Menu Gunkan Maki - affiche

pour 30,00 € et +

0 ARTINAUTES

Une affiche du spectacle accompagnée des contreparties précédentes!!

Un don de 30 € vous coûtera finalement après défiscalisation

> 10,2 € pour un particulier (défiscalisation de 66%)

> 12 € pour une entreprise (défiscalisation de 60%)

Menu Futo Maki - Tote Bag

pour 50,00 € et +

4 ARTINAUTES

46 DISPONIBLES

Un magnifique tote bag avec le visuel du spectacle accompagné des contreparties précédentes!!

Un don de 50€ vous coûtera finalement après défiscalisation

> 17€ pour un particulier (défiscalisation de 66%)

> 20€ pour une entreprise (défiscalisation de 60%)

Menu Oshi Sushi - invitation

pour 100,00 € et +

4 ARTINAUTES

996 DISPONIBLES

Une invitation valable sur les représentations à Présence Pasteur au Festival d’Avignon du 7 au 26 juillet 2025 + les autres contres parties (affiche, Tote Bag, carte)

Un don de 100 € vous coûtera finalement après défiscalisation

> 34€ pour un particulier (défiscalisation de 66%)

> 40€ pour une entreprise (défiscalisation de 60%)

Double Menu Oshi Sushi - 2 invitation

pour 200,00 € et +

1 ARTINAUTE

999 DISPONIBLES

Une invitation valable sur les représentations à Présence Pasteur au Festival d’Avignon du 7 au 26 juillet 2025 + les autres contres parties (affiche, Tote Bag, carte)

Un don de 200 € vous coûtera finalement après défiscalisation

> 68€ pour un particulier (défiscalisation de 66%)

> 80€ pour une entreprise (défiscalisation de 60%)

Menu Oshi Sushi Spécial +

pour 500,00 € et +

0 ARTINAUTES

Une rencontre avec l’équipe du spectacle autour d'un verre et deux invitations valable sur les représentations à Présence Pasteur au Festival d’Avignon du 7 au 26 juillet 2025 et sur toutes les autres dates de tournée à venir + les autres contres parties (affiche, Tote Bag, carte)

Un don de 500 € vous coûtera finalement après défiscalisation

> 170€ pour un particulier (défiscalisation de 66%)

> 200€ pour une entreprise (défiscalisation de 60%)

KISS a YARIS !!!

pour 1 000,00 € et +

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Nous vous offrons une réplique à échelle 1/18 d'une Toyota Yaris que Benny K Anderson cherche à gagner en participant au "Hands on a car body" dans la pièce. Et bien sur toutes les autres contreparties précédentes (le Tote Bag, les deux invitations...)

Un don de 1000 € vous coûtera finalement après défiscalisation

> 340€ pour un particulier (défiscalisation de 66%)

> 400€ pour une entreprise (défiscalisation de 60%)